La littérature comparée et la "ressemblance non-sensible"

Les philosophes Benjamin, Agamben et Derrida comme écrivains lyriques

Auteurs

  • Guillaume Surin ENS / République des savoirs

Mots-clés :

Benjamin, Agamben, Derrida, philosophie et littérature comparée

Résumé

La discipline – ou meéthode – qui a pour nom « litteérature compareée » ne devrait ainsi jamais oublier l’énergie d’un objet qui s’est donné sous la forme d’une constellation dépassant les frontières, constellation d’un corpus comparant, liant, l’étrange, le lointain. Pourquoi « percer » des frontières si c’est pour maintenir une langue, une pensée, des « perspectives » qui sont celles du même ? Comment la recherche peut-elle ne pas se laisser affecter par un objet qui s’est donné comme réseau, dans une forme d’en-deçà du langage qui est celui du livre clos, de la somme de trois œuvres closes ?

Biographie de l'auteur

Guillaume Surin, ENS / République des savoirs

Guillaume Surin prépare une thèse de littérature générale et comparée sous la direction d’Anne Simon au sein de l’ENS d’Ulm. Son travail s’intitule : Vers un lyrisme de l’usage – La responsabilité du feu du lyrisme dans les œuvres de Walter Benjamin, Jacques Derrida, Giorgio Agamben.

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Publiée

2024-10-08

Comment citer

Surin, G. (2024). La littérature comparée et la "ressemblance non-sensible": Les philosophes Benjamin, Agamben et Derrida comme écrivains lyriques. Europhonie(s), 1(1), 51–57. Consulté à l’adresse http://europhonies.eu/index.php/europhonies/article/view/8