Printemps tardif
Résumé
Ozu, dans chacun de ses films, esquisse des espaces symboliques où chacun ou tous se meuvent au long de rails parallèles à l’écran, semblant papiers découpés, silhouettes et paravents. Ponctuellement, il insère des plans d’espaces vides de personnages, à l’écart de la clameur et de l’intrigue. Un pas de côté. Peut-être essentiel, car ce sont des espaces de pure attention à ce qui est, au sein, sans drame, sans attendre davantage.
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Publiée
2024-10-08
Comment citer
Masseron, C. (2024). Printemps tardif. Europhonie(s), 1(1), 30–34. Consulté à l’adresse http://europhonies.eu/index.php/europhonies/article/view/4
Numéro
Rubrique
Détours
Licence
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